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4 janvier 2010 1 04 /01 /janvier /2010 20:37

Hôpitaux. Une cuisine pour deux

17 novembre 2009

Fin 2010, le centre hospitalier Charcot et le CHBS seront dotés d'une cuisine centrale, installée à Caudan. Un chantier de 8,5MEUR qui sort de terre actuellement. Unéquipement capable de produire jusqu'à 6.000 repas-jour.

L'équipement sera mis en service d'ici un an. Pour l'instant, le chantier est en cours et les travaux n'en sont qu'au gros oeuvre. Sur le site du centre hospitalier Charcot, à Caudan, se construit la future cuisine centrale qui alimentera l'établissement psychiatrique et ses nombreuses entités, ainsi que le centre hospitalier de Bretagne Sud qui s'étend sur cinq sites répartis entre Lorient, Ploemeur et Hennebont. Un projet d'importance puisque l'équipement sera capable de produire jusqu'à 6.000 repas-jour. Une capacité maximale qui permettra, le cas échéant, d'absorber les demandes d'autres établissements. Plus précisément, ce sont 5.000 repas qui vont être préparés par jour, y compris ceux du personnel. «Ce qui ne veut pas dire qu'ils seront tous consommés le jour même, car nous faisons de l'avance», précise Samuel Froger, directeur adjoint en charge des services économique et logistique au CHBS et directeur du groupement d'intérêt public qui gère la future cuisine.

Maîtriser la qualité

Actuellement, les deux établissements possèdent leur cuisine, mais toutes les deux sont en fin de vie. Les deux hôpitaux ont donc décidé de mutualiser les moyens. «Le site de Charcot a été choisi parce qu'il y a un terrain à proximité de la blanchisserie qui a déjà une vocation interhospitalière en desservant Kerpape, la clinique mutualiste, le centre hospitalier de Quimperlé et le CHBS, son plus gros client». Soit, mais pourquoi ne pas avoir fait appel à une société spécialisée dans la restauration collective? «Jusqu'en 2005, nous nous sommes posé la question. Finalement, nous préférons faire nous-même pour mieux maîtriser la qualité de nos productions. Etnous disposerons d'un outil qui nous assurera une sécurité alimentaire». Après avoir lancé le concours d'architecte en 2007, le choix s'est porté sur le cabinet Architectes ingénieurs associés de Larmor-Plage.

Marche en avant

Extérieurement, le bâtiment n'aura rien d'exceptionnel. «Il sera en béton avec un habillage bois et une toiture végétalisée qui pourra accueillir, si on le souhaite, des panneaux solaires». Car le bâtiment devra répondre à certains critères HQE (haute qualité environnementale), notamment en terme de gestion de l'eau, des déchets ou encore de consommation d'énergie. Un bâtiment lumineux, en partie éclairé par quatre puits de lumière. Rien que de très classique aujourd'hui. En revanche, pour l'aménagement intérieur, les architectes ont dû faire preuve de beaucoup d'imagination. «Nous voulions un bâtiment de plain-pied qui réponde à une logique dans la gestion des produits, de leur arrivée jusqu'au chargement dans les véhicules». Tout doit s'apparenter à une marche en avant. «Nous avons également insisté sur l'isolation des pièces, puisque toutes n'auront pas la même température». Un chantier dont la facture doit s'élever à 8,5MEUR. Le bâtiment doit être livré le 31juillet. Dans la foulée, de septembre à novembre le matériel sera livré et le personnel formé
. source télégramme

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26 décembre 2009 6 26 /12 /décembre /2009 13:21

Belle-Isle-en-Mer (56)

Les personnels hospitaliers de nuit en colère –une prime de 130€, environ, supprimée chaque mois

 

 

Mardi 1 Décembre, les salariés travaillant de nuit de l’Hôpital Yves LANCO de BELLE ISLE EN MER, avec le soutient de la C.G.T, sont entrés en actions, afin de s’opposer, à la décision de la Direction de l’établissement, de supprimer l’indemnité pour travail intensif de nuit.

 

Les personnels de nuit, mais aussi de jour, se sont bien  mobilisés, afin de défendre leurs droits.

 

18 d’entre eux, ont fait grève, une journée, 25 autres 1heure.

 

9 autres, ont été << réquisitionnés >>, dont la totalité du personnel travaillant de nuit ce jour là. Ce qui pose la question, des droits des agents de nuit, à faire grève.

 

Le tout, dans une pagaille, comme on à rarement vu, de l’incapacité de la direction, à gérer  efficacement, l’organisation du travail, en cas de grève.

 

150 à 160 agents, sur une moyenne de 110 à 120 agents présents / par jour, dans l’établissement, ont signé la pétition, pour la défense de leurs droits, ce qui est beau succès.

 

Environ 40 agents, ont participé au rassemblement, devant l’administration, avec prise de parole.

 

Ensuite, une délégation, constitué de représentants de la C.G.T et de veilleurs de nuit, ont été reçu par le directeur.

 

Celui-ci a confirmé, sa décision, prise lors du C.T.E  Lundi 30 Octobre, de sursoir provisoirement, à la suppression de cette indemnité, jusqu’au 31 Mars 2010, le temps de continuer les négociations, dans le cadre du C.T.E.

 

En fait , c’est devant le fort mécontentement du personnel et des retours des tutelles et de la Cours des comptes , suite à différents courriers et courriel , que la C.G.T leur à fait parvenir , qu’il a commencé à reculer .

 

Il se dit ouvert à toute discussion, en la matière, mais il met en avant, selon lui,

que tous les agents travaillant de nuit, ne peuvent toucher cette indemnité, particulièrement le personnel de la Maison de Retraite et les agents contractuels.

 

Cette suppression illégale, par rapport au texte en vigueur, dans la F.PH, a eu comme conséquence, une baisse de salaire d’environ 130 par mois, mettant en difficulté financière, certains agents.

 

Ce qu’il faut savoir, c’est que cette décision a été prise, sans concertation préalable, des représentants du personnel, ni des agents concernés, qui ont l’on découvert, sur leur fiche de paye du mois d’Octobre.

 

Le directeur, a pris prétexte de remarques de la Chambre Régionale des Comptes, qui a émis des réserves sur le versement de cette indemnité, à certains agents travaillant de nuit.

 

En réalité, cela n’a été qu’un prétexte, afin d’essayer de gratter, de l’argent, sur le dos des veilleurs de nuit, afin d’essayer de combler un déficit budgétaire, qui, du point de vu de la cour, est inquiétante.

 

Vendredi 4 Décembre 2009, le personnel de nuit, est appelé, à participer à une A.G,

Pour faire le point, par rapport à cette journée d’action, et de débattre des perspectives de lutte à venir, afin que tous les agents travaillant de nuit, quelque soit, leurs fonctions, le service où ils travaillent, puissent continuer à toucher, l’indemnité pour travail intensif de nuit.

 

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30 novembre 2009 1 30 /11 /novembre /2009 23:09



Triches et châtiments

 

le juge administratif

annule les élections au CTE et aux CAPL
des Maisons de retraite-Résidences Maréva
de Vannes (56) 

 

 

  

Presque deux années auront été nécessaires pour que, par deux jugements du 19 novembre 2009 le Tribunal administratif de Rennes saisi par le Syndicat CGT des Résidences Mareva annule les élections pour le renouvellement des représentants du personnel au Comité Technique d’Etablissement et aux Commissions Administratives Paritaires Locales- élections intervenues le 23 Octobre 2007.


23 Octobre 2007
des élections professionnelles truquées 

 

Rappelez-vous ! Alors que l’Administration se doit d’adopter un comportement de stricte neutralité lors des élections professionnelles vis-à-vis des différents protagonistes, Monsieur Le RAY Directeur à l’époque, organise lui-même une campagne anti-cégétiste outrancière.

 Acte1-Création d’un «syndicat –maison », le « SIRM » au mois de juillet 2007. Le dit « syndicat » est tellement  proche de la Direction que ses statuts précisent (article 24) que le Directeur « représente légalement le syndicat dans tous les actes civils et juridiques ».

 Acte 2-Monsieur Le RAY, Directeur à l’époque, organise les 3, 4 et 7 septembre 2007 une série de réunions pour dire tout le mal qu’il pense de la CGT et de l’expertise réalisée sur l’organisation du travail à la demande du CHSCT et tout le bien qu’il pense de sa créature le « SIRM ».

 Acte 3-Le 11 septembre 2007 au plus tard Monsieur Le RAY, Directeur à l’époque, valide les listes de candidatures présentées par le « SIRM ». Or le Directeur n’ignore pas qu’au 1er tour des élections professionnelles seules les organisations représentatives (présumées représentatives par la loi parce qu’elles sont affiliées à une confédération reconnue-CGT, CFDT, CFTC, FO, UNSA,CGC- ou représentatives de fait au regard des critères fixés par l’article L 133-2 du code du travail -effectifs, indépendance, cotisations, expérience et ancienneté du syndicat, attitude patriotique pendant l’occupation).

 Acte 4-Le 27 octobre 2007, Monsieur Le RAY, Directeur de l’époque, proclame les résultats des scrutins qui consacrent la « victoire » du « SIRM » aux élections au CTE et aux CAPL alors que cette organisation était totalement inconnue quelques trois mois plutôt.

 Acte 5-Aux lendemains des scrutins le Directeur des Résidences Mareva et le Préfet du Morbihan sont saisis, de deux recours gracieux du Syndicat CGT des Résidences Maréva visant respectivement  l’annulation des opérations électorales relatives à l’élection du CTE et à celles des CAPL pour diverses irrégularités dont l’absence de représentativité du « SIRM ». En vain. Les deux recours sont rejetés !

 C’est dans ces conditions que le Syndicat CGT du Personnel des Résidences Maréva va être contraint de saisir le juge administratif afin que le droit des agents des Résidences Maréva de choisir leurs représentants en toute liberté sans ingérence de l’employeur soit restauré et respecté.

 

 

19 novembre 2009
le juge administratif par 2 fois donne raison à la CGT
en considérant... 

-« qu’il est constant que le Syndicat Interprofessionnel des Résidences Maréva (SIRM) ne peut être regardé comme représentatif sur le seul fondement des dispositions de l’article 9 bis de la loi du 13 juillet 1983 ; »

-« que toutefois,(…), un syndicat qui ne remplit pas les conditions prévues à l’article 9 bis peut néanmoins présenter des candidats, s’il remplit par ailleurs les critères mentionnés à l’article L 133-2 du Code du travail » (effectifs, indépendance, cotisations,expérience et ancienneté du syndicat, attitude patriotique pendant l’occupation)….

-« que, compte tenu du caractère récent, à la date des opérations électorales contestées, de la constitution du syndicat, de l’absence d’expérience et d’activités syndicales de ses membres, de l’absence de justifications en matière de cotisations, de l’absence de référence électorale antérieure, et alors même que le nombre de ses adhérents représente 6,2% de l’effectif de l’établissement, le SIRM ne pouvait être regardé comme représentatif (…) »

-« qu’il y a lieu, par suite d’annuler les opérations électorales litigieuses du 23 octobre 2007 ».

 

"Bien mal acquis ne profite jamais" 

Cet adage est une nouvelle fois confirmé. Alors que notre Etablissement va bientôt accueillir un nouveau Directeur et que le Directeur par intérim Monsieur Le GARFF annonce la tenue de nouvelles élections constituons des listes de candidat-es « syndiqué-es-non syndiqué-es » représentatives de toutes les professions, de toutes les résidences, de toutes les équipes porteurs de nos attentes, de nos revendications en toute liberté, en toute indépendance ! Assez de divisions : l’union fait la force.

 

Soyons candidat-e

pour que chacun-e soit enfin respecté-e !


 

Vannes le 28/11/2009  SOURCE : http://hlguemene.over-blog.org/

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23 novembre 2009 1 23 /11 /novembre /2009 11:58
L'Agence régionale de santé a son patron

Alain Gautron. : Ouest-France

Début 2010, il n’y aura plus qu’un seul pilote, en Bretagne, de tout le complexe système de santé. Alain Gautron, nommé en conseil des ministres, à la tête de l’Agence régionale de santé (ARS), dirigera 440 collaborateurs : 190 dans les départements et 250 à son siège de Rennes, au Colombier. L'ARS chapeautera les sept organismes actuels de santé dans la Région et les départements : la Drass et les Ddass ; l’ARH, pour l’hôpital ; le GRSP ; la Cram, pour ses missions sanitaires ; l’Urcam ; la MRS.
source: Ouest-France
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23 novembre 2009 1 23 /11 /novembre /2009 11:49
 

Lorient.Un nouveau directeur à l'hôpital

21 novembre 2009

 


T
hierry Gamond-Rius a été désigné par la commission d'attribution paritaire nationale pour succéder à Dominique Bénéteau, au poste de directeur du centre hospitalier Bretagne Sud. Âgé de 46ans, ThierryGamond-Rius dirige depuis onze ans l'hôpital de Privas (Ardèche). Son arrivée à Lorient est pour lui une évolution normale de sa carrière. Des vacances, cet été, au Guilvinec (29), l'ont définitivement convaincu de la nécessité de postuler en Bretagne. «Très attaché au service public, au travail d'équipe, à l'ouverture de l'hôpital sur la ville, je serais heureux de pouvoir contribuer à conforter la place du CHBS sur son territoire, en lien avec ses partenaires», a indiqué le nouveau directeur qui prendra ses fonctions au début de l'année prochaine.


Source : Télégramme

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